• F  

    GAZA , ETHNOCIDE ET RÉQUISITOIRE POUR LA PAIX UNIVERSELLE

    t. 

     

     

    Cependant, le fait que cet état voyou soit en délire de guerre ethnique constante, n’enlève rien à notre idéal pacifique et humanitaire .

     

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  •  

    JB

    N E A  et  MY A

    FAM ROI

    QUAND ON N’A PLUS DE RESPECT POUR SOI NI POUR SES DIRES…

     

    Quand on n’a plus de respect pour autrui ni de dignité encore, et que l’arrogance et l’offense servent aux plus rustres d’entre-nous, défiant les usurpateurs et les voleurs qui siègent, anoblis aux timons de nos devenirs…

    Quand, en guise de courage, la fuite et le mensonge nous inspirent, mettant à nu les promesses, les crédos, l’amour prétendu, l’estime, la foi en l’avenir…

    Quand en guise de loyauté, on use de faiblesses et de lâchetés, de traîtrises ou pire encore…

    Quand, faute de qualités, on s’illustre par ses défauts et on les exhibe comme un défi, une avancée, voire comme des qualités, à mimer, opportunes…

    Quand, faute d’éthique, les tares épuisées, leur noblesse trop commune, on se targue de mentir pour s’amuser des défauts des plus crédules et des plus naïfs des honnêtes personnes dont on se joue… Je reste ébahi et ça me laisse perplexe !

     

     

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  •   TANGO POUR UN AVATAR

     

     

     

     

    Un ange et sa lyre, aux plumes qui riment,

    Du haut des nuages sourit aux éléments.

    Je veux acheter cette fresque sublime,

    Œuvre de divine, destinée aux seuls rois !

     

     

     

    Tableau vivant, qui parle et qui aime,

    Qui chante et qui danse en riant.

    Mais je n'ai ni force ni voix ni argent,

    Pour te ravir et dire au régent

    Harbach, sir bhalek, va-t-en !

     

     

     

     

    Sans voix, qui puis-je élire comme sultan?

    Mon luth s'est éteint et mon violon

    A cassé ses cordes depuis longtemps.

    Mon corps étique et ma flute livide 

    Ont perdu leur souffle d'antan.

     

    Et le chef d'orchestre, rendu fou

    Est parti comme un dément,

    S’il ne se pend dans le fracas

    De tes sillons en se lamentant.

     

    Chœur de déesse aux charmes ardents

    Ta jeunesse brille, Circée, de belles dents.

    Tu changes en pourceaux les hommes

    Qui te désirent et t'admirent,

    Et en sirènes, les reines et leurs démons !

     

    Tes joues de lumière embrasent le soleil

    Tu défies le ciel de ton front étincelant.

    Le croissant de lune s'étire et s'efface

    Pâle devant la morgue de ton menton.

     

     

    Méduse, quand tu secoues tes mèches,

    Ton haleine aux parfums d'éden

    Jaillit de tes boucles d'ébène

    Et tu paralyses celui qui t’entend

    Tuant d'envies folles le mâle qui te sent

     

    De ton cou de marbre opalescent,

    Des vagues de verdeur roulent sur les flancs

    Du bateau ivre au mât vacillant.

    ô princesse sort tes voiles maintenant

    Et vogue au loin en m'emportant !

     

    Bercé par ta vue, je croule littéralement

    Asphyxié dans le vertige des vagues

    Qui déferlent et me hissent, ô misère,

    Jusqu’aux courbes taboues du firmament.

     

    Dans les vallées de ton Olympe d'airain

    Tes dunes diaphanes, en torrents bouillonnants,

    Ivres de rosées suaves et de givres salins,

    Cascades d’ambroisie et de nectars

    Inondent de sueurs les replis de tes reins.

    Pour que me prives-tu de mes aliments ?

     

    ô privations, ô miracles, ô détresse des saints !

    Mais qui donc est ton prince, Déesse,

    Ou ton Cerbère pour m'ignorer autant ?

     

    Tes divines ondées giclent en glissant

    Sur le mont vénusien de tes printemps

    Rien ne reste pour inspirer tes aèdes,

    Tu as mangé tous tes amants !

     

    L'âme et la vie, le bonheur et le temps,

    Réaniment d'espoirs mes souvenirs de manant.

    Enserrées de tabous; tes méninges closes,

    Exilent au néant mes fols entêtements.

     

    Appendus à tes lèvres, lié au serment,

    Attaché comme Ulysse à l'artimon,

    J'espère le privilège de tes châtiments !

     

    ô cruelles épines serties de piquants,

    Où sont les perles où sont les diamants ?

     

    Roses en bouton, cactus ou asphodèles ?

    Orchidées, tulipes, œillets, clivias,

    Amaryllis, dahlias, Eve ou Zahra ?

     

    Une fleur coupée ne saurait durer tant,

    Quelle que soit l'élue déifiée qui la sent !

     

     

     

    Mais tu n'es qu'une image de légende,

    Un mirage pervers, osé et turbulent,

    Bonne à te jouer du barde et de sa raison,

    De ses bouquets fleuris et gluants sentiments.

     

    Un jour mes vers te sortiront de la fiction.

    De ton harem, de ton jeûne, de ton ramadan,

    De l'écran obscur où zappe ton avatar d'aura.

     

    Et je te donnerais ton esclave Bassou,

    Comme illustre amant pour te délivrer

    De la tombe cynique ou tu te plais tant.

    Dr Idrissi My Ahmed              Kénitra le 11 Juillet 2013 

     

     

      a 


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  • TANGO POUR UN AVATAR

     

    Un ange et sa lyre, aux plumes qui riment,

    Du haut des nuages sourit aux éléments.

    Je veux acheter cette fresque sublime,

    Tango pour un  avatar

    Œuvre de Dieu, destinée aux seuls rois !

     

    Tableau vivant, qui parle et qui aime,

    Qui chante et qui danse en riant.

    Mais je n'ai ni force ni voix ni argent,

    Pour te ravir et dire au régent

    Harbach, sir bhalek, va-t-en !

     

    Sans voix, qui puis-je élire comme sultan?

    Mon luth s'est éteint et mon violon

    A cassé ses cordes depuis longtemps.

    Mon corps étique et ma flute livide 

    Ont perdu leur souffle d'antan.

     

    Et le chef d'orchestre, rendu fou

    Est parti comme un dément,

    S’il ne se pend dans le fracas

    De tes sillons en se lamentant.

     

    Chœur de déesse aux charmes ardents

    Ta jeunesse brille, Circée, de belles dents.

    Tu changes en pourceaux les hommes

    Qui te désirent et t'admirent,

    Et en sirènes, les reines et leurs démons !

     

    Tes joues de lumière embrasent le soleil

    Tu défies le ciel de ton front étincelant.

    Le croissant de lune s'étire et s'efface

    Pâle devant la morgue de ton menton.

     

     

    Méduse, quand tu secoues tes mèches,

    Ton haleine aux parfums d'éden

    Jaillit de tes boucles d'ébène

    Et tu paralyses celui qui t’entend

    Tuant d'envies folles le mâle qui te sent

    Tango pour un  avatar

     

    De ton cou de marbre opalescent,

    Des vagues de verdeur roulent sur les flancs

    Du bateau ivre au mât vacillant.

    ô princesse sort tes voiles maintenant

    Et vogue au loin en m'emportant !

     

    Bercé par ta vue, je croule littéralement

    Asphyxié dans le vertige des vagues

    Qui déferlent et me hissent, ô misère,

    Jusqu’aux courbes taboues du firmament.

     

    Dans les vallées de ton Olympe d'airain

    Tes dunes diaphanes, en torrents bouillonnants,

    Ivres de rosées suaves et de givres salins,

    Cascades d’ambroisie et de nectars

    Inondent de sueurs les replis de tes reins.

    Pour que me prives-tu de mes aliments ?

     

    ô privations, ô miracles, ô détresse des saints !

    Mais qui donc est ton prince, Déesse,

    Ou ton Cerbère pour m'ignorer autant ?

     

    Tes divines ondées giclent en glissant

    Sur le mont vénusien de tes printemps

    Rien ne reste pour inspirer tes aèdes,

    Tu as mangé tous tes amants !

     

    L'âme et la vie, le bonheur et le temps,

    Réaniment d'espoirs mes souvenirs de manant.

    Enserrées de tabous; tes méninges closes,

    Exilent au néant mes fols entêtements.

     

    Appendus à tes lèvres, lié au serment,

    Attaché comme Ulysse à l'artimon,

    J'espère le privilège de tes châtiments !

     

    ô cruelles épines serties de piquants,

    Où sont les perles où sont les diamants ?

     

    Roses en bouton, cactus ou asphodèles ?

    Orchidées, tulipes, œillets, clivias,

    Amaryllis, dahlias, Eve ou Zahra ?

     

    Une fleur coupée ne saurait durer tant,

    Quelle que soit l'élue déifiée qui la sent !

     

    Mais tu n'es qu'une image de légende,

    Un mirage pervers, osé et turbulent,

    Bonne à te jouer du barde et de sa raison,

    De ses bouquets fleuris et gluants sentiments.

    Tango pour un  avatar

     

    Un jour mes vers te sortiront de la fiction.

    De ton harem, de ton jeûne, de ton ramadan,

    De l'écran obscur où zappe ton avatar d'aura.

     

    Et je te donnerais ton esclave Bassou,

    Comme illustre amant pour te délivrer

    De la tombe cynique ou tu te plais tant.

    Dr Idrissi My Ahmed              Kénitra le 11 Juillet 2013 

     

     


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  • L'ACCOUCHEMENT DU FACTEUR

    DIVAGATIONS MAJEURES EN SOUS-SOL MINEUR

    DE MADAME STUDENT, VOTRE ENVOYEE

    NOTES AU BON DIEU, PAR LA VOIE HIERARCHIQUE 

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